dimanche 31 mai 2015

Un homme de parole





"Nous nous sommes battus pour que la République soit la République."
(Nicolas Sarkozy, 30 mai 2015)


Voilà qui est envoyé ! - Deux remarques en passant : 
- Il est en effet malaisé de revendiquer le titre de "Républicain" dans le cadre d'un débat polémique comme celui - bien rhétorique ! - entre la "droite" et la "gauche", car le revendiquer pour soi, c'est implicitement le refuser à l'autre.
- M. Sarkozy a lui aussi - comme son successeur - un bilan, qu'il essaye de faire oublier - de masquer - par de beaux discours, et ce changement de nom d'un parti qu'il présida déjà entre 2004 et 2007, qui lui fournit ici l'occasion d'une "refonte" - bien théorique ! - rappelle sa stratégie de la "rupture" lors de la campagne présidentielle de 2007 où il compte succéder au président Chirac dont il reste cependant le ministre de l'Intérieur jusqu'à la veille du scrutin.


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Commentaires

 

  • Il fallait changer le nom du parti pour effacer l'ardoise, et en fin de compte peut importait le nom. Alors comme Rassemblement, Parti, Mouvement, etc. avaient déjà été utilisés dans des dénominations précédentes, l'idée était de ne pas utiliser ces termes, et de ne garder qu'un mot clé. "Républicain" en valait un autre, neutre en terme d'échiquier politique et peu à même d'appeler critique ou contestation, du reste un parti giscardien avait utilisé ce terme pendant vingt ans. Bon, "Les" républicains ça a l'air de revendiquer une exclusivité, mais on effacera bientôt le nom derrière un sigle, ça ne mange pas de pain. Finalement, le pain béni a été le recours judiciaire de certaines associations, les dernières réticences des UMPistes ont été levées pour faire front commun. Evidemment "droite" ou "conservateur" aurait été plus descriptif, mais dans les années 30 il y avait un parti de droite qui se nommait "gauche républicaine" (ou "républicain de gauche" je ne sais plus), c'est plus payant dans l'isoloir.
  • Le "l" minuscule dans le sigle passe plutôt pour un "i" majuscule, spontanément on lit "ire"
  • J'avais déjà remarqué que les conseillers en communication de M. Sarkozy étaient des cracks mais là - en effet - il est difficile de faire mieux que l'équipe qui a conçu ce nouveau logo !
  • Comme titre de la note, j'aurais choisi : un homme des paroles.
    Mais pour redevenir sérieux : on a entendu régulièrement N.S. dire et répéter qu'il "ne voulait pas de la tante dans le Nord ni de la nièce dans le sud". Le problème n'est pas là. Que les idées du FN soient portées par la tante, la nièce ou le vieux comique troupier antisémite et nostalgique de vichy est secondaire.
    Moi, j'attends que N.S. dise : "Je ne veux en rien des idées du FN, ni dans le nord, ni dans le sud ni où que ce soit."

    Jusqu'ici, il évite soigneusement de le dire.
  • Cette fois je dois disconvenir car le double sens du titre me paraît aller de soi, priorité étant donnée à sa résolution de quitter la politique en 2012 (litote quand tu nous tiens).
  • OK SK d'autant plus que je voulais écrire : un homme de paroles (et non des)
  • N.S. a voulu éviter le jeu de mot FN : "UMPS". Cela n'a pas tardé : le n° 2 du FN a trouvé : l'RPS.
    ;
  • la République est une organisation faite de lois et de biens communs à disposition de chacun sur un socle verrouillé par la constitution
    de cette organisation émane donc tout le poids étatique qui coûte si cher, les trois fonctions publiques, d'Etat, hospitalière, territoriale, le régalien, sécurité, fiscalité, justice.....éducation
    et, dans l'imago populaire on pense démocratie en se demandant pourquoi les républicains US s'opposent aux démocrates, en regardant en coin nos masses fonctionnaires comme le contraire du libéral, dans libéral on comprend liberté, pas si évident

    Notre revenant a juste un embryon d'idée, dans sa république il veut de la confiance et donc ré introduit le vertical, l'élève a confiance au maître l'employé au patron......ça tombe d'en haut et ça la gauche en est déjà cramoisie

    quand il aura fini son joke il sonne!
  • J'avais remarqué ailleurs que, pour comble de malheur, "Les Républicains", en Allemagne, ça se dit "Die Republikaner", mais je vous laisse découvrir si vous ne connaissez pas > http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_R%C3%A9publicains_%28parti_allemand%29
    Vachement en phase avec la fameuse NS TV créée lors de la campagne de 2007 !

    Pour le bien de la politique - et de la République ! - française, il serait vraiment souhaitable que M. Juppé porte la candidature de la droite parlementaire en 2017...

    mais il paraît qu'on ne choisit pas sa famille ?
  • Je me souviens avoir écrit - ici, je crois - à propos d'un sondage du Monde que le nombre grandissant de sympathisants aux thèses FN, étant gênés aux entournures par l'étiquette FN*, pourraient dorénavant être appelés non plus fachos mais républicains. Je rappelle que s'il répète dans ses meetings "non à la tante dans le Nord et non à la nièce dans le sud", N.S. ne dit jamais "non aux idées du Front National ni dans le nord ni dans le sud". Le FN, dit-on, devrait s'appeler prochainement "le Patriotes".
    Une fois retirés les Patriotes et les Républicains, ne restent que les mauvais Français.

    * On lit régulièrement sur les blogs : "Le FN n'est pas ma tasse de thé" ou "N.S. n'est pas ma tasse de thé". Viendra le "mais ...."

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    A propos de Juppé, j'ai été étonné hier de l'entendre dire : "Si les primaires ne se font qu'au sein des Républicains, je n'y participe pas". Raffarin puis NKM lui ont donné raison. Je croyais l'affaire entendue. Il semblerait que non, N.S. ayant rétorqué que l'urgent était de s'occuper de la souffrance des Français et des régionales.
  • je suis allée lire, quand je suis arrivée à Munich je suis sortie, non sk , NS est tout sauf nationaliste mais de l'intérieur ,de sa famille, la division déguisée fait unisson pour le virer et depuis longtemps, des saboteurs d'ailleurs juchés sur le complexe FN et Buisson
    rien n'influera sur cette peste extrême droite UE qu'on tente de contrer et tancer NS sur notre hexagonal pour ce motif planque le vrai danger de ce monsieur, fasciné par l'Amérique en premier par son système carcéral, je l'ai toujours écrit même quand je roulais pour lui

    s'il accédait vraiment il faudra creuser ailleurs dans ses neurones pour savoir exactement ce qu'il fabrique à long terme dans ce Monde et comment il le voit, on ne pose jamais cette question à celui qui prend la main de toutes façons, les deux derniers , clairs, furent De Gaulle et Pompidou, mais c'était simple....avant, virer De Gaulle suffisait à clarifier

    et votre chère Europe? lui pose t on cette question?
  • Comment savez-vous que l'Europe est mon DADA ?
  • Je vois qu'on aime se concentrer sur des détails sans importance, sur l'écume. On se demande si ce n'est pas à ça que servent toutes ces chicaillas sur un nom de parti, sur les propos de l'un ou de l'autre sur l'autre et l'un et réciproquement. Le feuilleton continue qui nous distrait de l'essentiel.
    En ce sens la parole de Sarkozy, ou de Juppé ne m'intéresse guère ou pas. Ce sont des paroles pour être élu et pas pour résoudre les problèmes et les maux. Même chose au PS évidemment.

    D'un côté un candidat potentiel qui surfe sur certains des thèmes du FN. Mais ces mêmes thèmes étaient ceux de son parti avant qu'il ne les abandonne et deviennent le fond de commerce du parti honni. C'était l'époque où Juppé était président du RPR, au début des années 90 et que cet homme était haï par la gauche. Mais les années ont passé et il est devenu quasiment son candidat par défaut, le moins pire, le plus acceptable, enfin devenu propre sur lui parce qu'il a rejeté ce qu'il était il y a 25 ans et que finalement on ne verra guère de différence entre lui et Hollande.
    Pourtant les problèmes de la France se sont aggravés et peut-être, en partie parce que les idées du RPR avant qu'il ne devienne européiste béat, avant qu'il perde son intransigeance sur la nécessité de l'assimilation.

    Reste qu'on ne peut que constater que cet abandon, ce reniement de principes qui faisaient de la droite une vraie droite (de valeurs, je laisse de côté les aspects économico-financiers qui sont d'autres lignes de fracture autant à droite qu'à gauche), a profité avant tout au FN qui s'est accaparé ce que les autres avaient laissé en friche.
    Sarko l'avait bien compris dès les années 2000 et a fait une campagne en ce sens, permettant de siphonner une bonne part des voix qui allaient au FN, mettant celui-ci dans un premier temps en grande difficulté, notamment financière, eu égard au financement de notre vie politique. Mais les attentes du peuple de droite (puisqu'il y e a un de gauche, il peut bien y en avoir un de droite) n'ont pas été satisfaites. Les discours, et notamment celui de Grenoble, n'ont pas réussi à masquer le fait que les promesses n'ont pas été tenues.
    Une partie de la droite par conviction ou par opportunisme veut se réapproprier ce qu'elle a abandonné, ce qui nous éloigne de l'accusation de Benoit qui pense que la droite, ou une partie de la droite s'approprie les idées du FN. Ces idées sont bien plus anciennes que le FN et elles ont même accompagné la République assimilationniste et méritocratique pendant des décennies. Alors maintenant il ne fait pas pleurer, tant gauche qu'à droite parce que ces idées sont passées pour ringardes, que le multiculturalisme est devenu la valeur du moment des élites, et que tout ça s'est traduit par un accroissement des difficultés de se côtoyer hors de références communes en termes de valeurs. Et que donc que le parti qui a choisi de remettre les vieilles idées au gout du jour remporte la mise chez ceux qui sont victimes de leur abandon ou qui craignent que la situation devienne de pire e pire à cause de cela.

    Pour ma part j'aurais souhaité, et je l'avais exprimé dès 2012 que l'UMP explose,avec le départ d'une partie de ses membres vers le centre, ce que Juppé représente aujourd'hui, tandis que renaitrait un véritable parti de droite, ce que Juppé représentait hier et que Sarkozy essaie de représenter aujourd'hui, tandis que sa crédibilité est bien entamée.
    Mais les grands partis, PS et UMP/Républicains sont peu enclins à se dissoudre, sans doute le système de financement de la vie politique en est-il responsable, ses membres dirigeants préférant pour la plupart la soupe aux convictions.
     
     
  • Si le FN a repris à son compte les "valeurs" de la "vraie" droite, pourquoi continuer à tergiverser et verser dans la nostalgie d'une UMP-Républicaine qui n'est plus ce qu'elle était et certainement pas ce qu'elle devrait être ?
  • Parce qu'un parti de droite devrait défendre les mêmes principes d'une autre manière et ne pourrait en aucun cas adhérer au versant économique du programme du FN. Parce que être d'accord sur des constats, sur des faits et leurs causes, ne signifie pas être d'accord sur les solutions proposées. Vous aurez par exemple du mal à confondre NDA (ou le Juppé version années 90) et MLP.
  • A ma connaissance, au début des années 90, Juppé, ministre des affaires étrangères du gouvernement de cohabitation Mitterrand-Balladur, n'était pas classé à la droite de la droite. Il a par la suite perdu les élections de 97 en rejetant les compromis avec le FN.
    Quelles sont les valeurs de droite auxquelles l'ex-UMP a renoncé? On peut penser notamment à l'indépendance nationale, et en effet le "parti de l'empire" (européisme) l'emporte sur le "parti de la nation" (souverainisme). Juppé est effectivement proche des positions centristes sur l'Europe, mais Sarko aussi (malgré quelques postures de tribunes), donc on voit mal celui-ci piloter une formation politique souverainiste. Par ailleurs, je ne suis pas certain que l'assimilationnisme était particulièrement de droite, son origine est plutôt dans la gauche de Ferry (assimilation d'abord intérieure en gommant les spécificités régionales); et plus encore pour la laïcité, dont le fanion a totalement changé de bord.
  • @Nolats,
    renseignez-vous sur le programme du RPR de la charnière des années 80 et 90 (Juppé en est le secrétaire général à l'époque). Les problématiques de l'immigration, de l'intégration, de la religion d'amour et de paix y étaient traitées d'une manière que vous réprouveriez sans doute et en tout cas que ne renierait pas la FN d'aujourd'hui.
  • Il y a eu une période droitière du RPR effectivement à la fin des années 80 et début 90, notamment lorsque Pasqua était influent, mais éphémère puisque le Chirac de 95 est redevenu rassembleur. Juppé ne me parait pas avoir été en pointe dans le discours anti-immigré.
  • Je n'ai pas souvenance qu'Alain Juppé ait été président du RPR, peut-être Secrétaire-Général, et en quelles années (Chirac a gardé la présidence jusqu'à 1995). Dans le gouvernement Balladur il était ministre, en 1995 il devient 1er Ministre et il reste la période 1997-2005 (cohabitation Jospin) où, si j'ai bonne mémoire, la "présidence" du RPR s'est jouée entre J-Paul Delevoye et Michèle Alliot-Marie... cette dernière ayant pris le dessus.
    En 2002, le RPR étant remplacé par l'UMP, Juppé en prend la présidence jusqu'en 2004 où il succède à Villepin comme ministre des AE.
  • @BL
    Il a été secrétaire général de 88 à 94 puis président de 95 à 97.
    Et donc on aurait du mal à le voir étranger au programme de ce parti dans les années en question. Ou alors c'est qu'il est plus mauvais qu'on ne peut l'imaginer.

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    Je rappelle les lignes du programme du RPR (et de l'UDF) en 1990 :
    "Fermeture des frontières », « suspension de l'immigration », « réserver certaines prestations sociales aux nationaux », « incompatibilité entre l'islam et nos lois ».

    Retour vers le futur?
  • BL, il n'y avait pas de malentendu sur ce point, Vlad avait bien précisé que Juppé avait été Secrétaire Général. La question portait sur ses positions pendant la période de "ligne dure" au RPR.
     

  • Nolats, je ne cherche pas à "reprendre" Vlad. Je voulais recadrer ce que fut Juppé dans le dispositif national chiraquien. Vlad a écrit "C'était l'époque où Juppé était président du RPR, au début des années 90" ce qui correspond à l'époque où il était S.Gal effectivement (88-94) mais aussi en charge des finances à la Mairie de Paris, ce qui lui a valu d'être un bouclier judiciaire du Président du RPR...
  • De 95 à 97, jusqu'à la "dissolution de la droite", Juppé était Premier Ministre. Lors de l'élection de MAM à la présidence du RPR en 1999, il y avait un "président par intérim" qui s'appelait...
    ...Nicolas Sarkozy

    Juppé avait soutenu (timidement) Delevoye, le candidat de Jacques Chirac. En 2002 Juppé sera le président de l'UMP qu'il a co-fondée en succession plus ouverte aux centristes (de l'UDF) que le RPR.
  • @BL
    voir sa bio sur le site du gouvernement

    http://www.gouvernement.fr/alain-juppe
  • Jupé est la plus grande erreur de la droite et elle le laissera passer parce qu'elle est incapable de se construire en vraie droite par ce complexe FN Buisson où elle aura toujours préféré 'y voir s'empêtrer celui qui n'est pas du sérail, lequel devrait à mon sens laisser tomber
    Jupé est un gestionnaire puissant, voire violent: la Santé n'a pas de prix, elle a un coût....ordonnances de 96, l'hopital public ne s'en remettra jamais, il était seul, la France frileuse ne saura jamais se réformer, quand un faiseur veut faire, 100 diseurs défont ou bidouillent jusqu'à ce qu'on ne comprenne plus rien
  • Je n'ai pas compris si vous approuvez ou condamnez les tentatives de réformes de la santé de 96 (il y avait quand même l'amorce de la couverture maladie universelle, instaurée par la suite)
  • En ce qui me concerne, je garde une réelle nostalgie de feu l'UMP. J'ai versé quelques larmes ce soit. C'est ici :
    https://www.youtube.com/watch?v=VyLOy7l_jP4
     
     
  • De la même manière que je serai peiné quand s'achèvera la saison 5 qui marquera la fin de la série
    https://twitter.com/JeunesActifsUMP/status/595135808652218370/photo/1
  • Magnifique contribution d'art contemporain. Voilà le kitsch vraiment devenu le maître et le talon de l'esthétique globale...
  • On reconnait parmi les jeunes figurants du clip des acteurs que l'on a vu ensuite dans des séries Télé, notamment Moussa des "chers voisins".
  • Ah, ce lipdup !... En le revoyant, je me dis que sur le plan strictement mélodique, il n'était pas mauvais. L'image ? Ben... c'est un lipdup. Un peu ringard compte tenu de certains personnages.
    Du coup, au plan musical je suis allé écouter ceci : https://www.youtube.com/watch?v=-zcOFN_VBVo. C'est de la même époque et c'est réussi !
  • Complément : je parlais du lipdup UMP. Cela dit, le truc propulsé par Vlad... c'est de bonne guerre.
  • Nolats, 96 il faut supprimer 60000 lits, ça sort du chapeau! et s'ancrer sur la loi Francheschini aide sociale et handicap qui tombe sur le maintien à domicile, puis sur le développement de l'HAD, de l'ambulatoire on aboutit à des plateaux techniques, es étages congrus aux spécialistes et des urgences bondées de vieillards en amont il faut des moyens pour les soigne en aval des moyens séjours pour espérer le retour à domicile et on recommence! vers les urgences
    juste un schéma qu'il faut pondérer avec la loi sur la silver économie en train de s'élaborer

    juste un truc ,un poste chir ambu égale deux lits tradi à déboulonner avec les ETP soins et logistique, au bout d'un moment le destin clinique reste ce qu'il est et la chronicité ne baisse pas

    enfin les redondances plateaux techniques on pourrait en parler

    Quand un Jupé s'énerve c'est bien et ensuite il faut suivre!
     
     
  • Donc vous réprouvez le coup de rabot?
  • vous avez travaillé Nolats? excusez moi mais on doute! faire mieux avec moins , ne me dites pas qu'il suffit de le décider dans un ministère, ça prend 10 ans voire plus
  • Dans l'industrie privée, c'est ça le quotidien. Ceci étant, mon interrogation était due au fait que vous écriviez "Quand un Jupé s'énerve c'est bien...", je ne savais à quel degré il fallait interpréter ce "bien".
  • Nolats, c'est de la même veine que "le remplacement d'une retraite sur deux ou trois dans la fonction pu", avoir l'autorité de dire stop mais se donner les moyens d'organiser et faire en sorte que ça tourne encore," redéployer" on connaît ça et la France en alternance des urnes fait des aller retour et tergiverse, ce qui est dangereux y compris pour les salariés
  • Compris, et d'accord.

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