Lorsqu'on aborde les exactions de Cologne, il faut savoir qu'il existe une « exception culturelle » en Allemagne : Les feux d'artifice individuels, pétards et fusées, y sont autorisés pendant la nuit du Nouvel An. - Humour ou sollicitude : certains sont allés jusqu'à préconiser de mettre au parfum les réfugiés qui risqueraient de se croire brusquement revenus au pays.
Les problèmes d'immigration et d'intégration existent depuis longtemps en Europe. Et ceux qui exploitent la misère des pauvres gens – passeurs, bandes organisées, raquetteurs, souteneurs – sont aussi vieux que le monde. À mon sens, Cologne est d'abord le résultat de la conjonction explosive de ces deux facteurs. L'arrivée massive de réfugiés en provenance des zones de guerre et de disette fonctionne ici comme un « catalyseur » dont l'action précipite la réaction. À cela s'ajoutent l'alcool, la marijuana et la fête débridée comme le veut la coutume dans la capitale allemande du carnaval.
Il faut également préciser que la gare centrale de Cologne, le parvis de l'imposante cathédrale gothique et la zone piétonne, qui se trouvent à proximité, sont depuis belle lurette le terrain de jeu de la petite criminalité : voleurs, dealers, arnaqueurs en tous genres, pour qui les touristes allemands ou étrangers, présents nuit et jour, représentent une proie idéale.
Ces différents paramètres – les uns plus importants, les autres plus anecdotiques – forment le terreau sur lequel les poussées de violence ont émergé à Cologne. L'une des nouveautés – extrêmement inquiétante – est que cette violence frénétique cible principalement les femmes et qu'elle est exercée massivement par de jeunes hommes célibataires, frustrés, désœuvrés, originaires de pays où le statut de la femme est – de notre point de vue occidental – pour le moins critiquable, s'il ne doit pas tout simplement être considéré comme arriéré ou archaïque.
Les problèmes d'immigration et d'intégration existent depuis longtemps en Europe. Et ceux qui exploitent la misère des pauvres gens – passeurs, bandes organisées, raquetteurs, souteneurs – sont aussi vieux que le monde. À mon sens, Cologne est d'abord le résultat de la conjonction explosive de ces deux facteurs. L'arrivée massive de réfugiés en provenance des zones de guerre et de disette fonctionne ici comme un « catalyseur » dont l'action précipite la réaction. À cela s'ajoutent l'alcool, la marijuana et la fête débridée comme le veut la coutume dans la capitale allemande du carnaval.
Il faut également préciser que la gare centrale de Cologne, le parvis de l'imposante cathédrale gothique et la zone piétonne, qui se trouvent à proximité, sont depuis belle lurette le terrain de jeu de la petite criminalité : voleurs, dealers, arnaqueurs en tous genres, pour qui les touristes allemands ou étrangers, présents nuit et jour, représentent une proie idéale.
Ces différents paramètres – les uns plus importants, les autres plus anecdotiques – forment le terreau sur lequel les poussées de violence ont émergé à Cologne. L'une des nouveautés – extrêmement inquiétante – est que cette violence frénétique cible principalement les femmes et qu'elle est exercée massivement par de jeunes hommes célibataires, frustrés, désœuvrés, originaires de pays où le statut de la femme est – de notre point de vue occidental – pour le moins critiquable, s'il ne doit pas tout simplement être considéré comme arriéré ou archaïque.
L'autre nouveauté touche à la concertation des auteurs, qui ne semble pas faire de doute, vu l'envergure et la simultanéité des exactions dans plusieurs grandes villes d'Allemagne, notamment aussi dans le quartier chaud de la Reeperbahn à Hambourg.
L'enquête toujours en cours confirmera peut-être que derrière cette apparente « dynamique de groupe » qui a semé le chaos à Cologne et ailleurs, certaines éminences grises tirent les ficelles. Deux types de marionnettistes sont en tête de gondole. Les uns appartiennent à la criminalité organisée qui, avec cette « action », pourrait tester la puissance de son réseau et l'efficacité des marionnettes. Selon une information donnée ici même, le bureau du procureur de Cologne enquête en partie dans ce sens. La motivation des autres manipulateurs est clairement politique et vise de toute évidence à déstabiliser un peu plus nos sociétés dites « ouvertes ».
Dés lors, on doit sérieusement envisager une hypothèse qui n'a rien de rassurant, car les effets des exactions de Cologne sont les mêmes que ceux des attentats du 13 novembre 2015 à Paris : dans les deux cas, les instigateurs – déclarés à Paris, dans l'ombre à Cologne – mandatent des hommes de main pour semer la panique et la terreur parmi la population ; les moyens utilisés sont certes radicalement différents – des armes de guerre à Paris, de pétards dans la foule et des agressions sexuelles à Cologne – mais les situations « festives » dans lesquelles ces opérations sont menées – salle de concert, terrasses de café à Paris, fête du nouvel an à Cologne – se ressemblent étrangement.
L'enquête toujours en cours confirmera peut-être que derrière cette apparente « dynamique de groupe » qui a semé le chaos à Cologne et ailleurs, certaines éminences grises tirent les ficelles. Deux types de marionnettistes sont en tête de gondole. Les uns appartiennent à la criminalité organisée qui, avec cette « action », pourrait tester la puissance de son réseau et l'efficacité des marionnettes. Selon une information donnée ici même, le bureau du procureur de Cologne enquête en partie dans ce sens. La motivation des autres manipulateurs est clairement politique et vise de toute évidence à déstabiliser un peu plus nos sociétés dites « ouvertes ».
Dés lors, on doit sérieusement envisager une hypothèse qui n'a rien de rassurant, car les effets des exactions de Cologne sont les mêmes que ceux des attentats du 13 novembre 2015 à Paris : dans les deux cas, les instigateurs – déclarés à Paris, dans l'ombre à Cologne – mandatent des hommes de main pour semer la panique et la terreur parmi la population ; les moyens utilisés sont certes radicalement différents – des armes de guerre à Paris, de pétards dans la foule et des agressions sexuelles à Cologne – mais les situations « festives » dans lesquelles ces opérations sont menées – salle de concert, terrasses de café à Paris, fête du nouvel an à Cologne – se ressemblent étrangement.